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when i was your man
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Oswald Dawkins
first ray of the sun
Oswald Dawkins

in front
âge : cinquante-trois ans mais, encore toutes tes dents.
heart : il y a ta femme qui prend une grande partie et pourtant, vous êtes séparés. elle ne devrait plus y être.
work : pompier de feu pour la ville.
team : fou du crochet et charity society.
home : t'as une belle maison familiale à memory lane.
dream : à ton âge, tu n'as plus vraiment de rêve. c'est peut-être même dommage de penser comme ça.
. : when i was your man Tumblr_oosv3slTeB1qbwrnuo8_250
secret box : père officiellement de deux enfants mais, père aussi de deux autres enfants, cachés auprès de tout le monde.
post : 53
Date d'inscription : 31/07/2024
pseudo : (meow.)
faceclaim : le mâle, le vrai, jeffrey dean morgan.
multicomptes : zézé la plus belle
behind
https://takeyourtime.forumactif.com/t60-et-quand-il-pete-il-trou
5/8/2024, 22:13

Elizabeth Dawkins-Byron aime ce message




when i was your man 7075fccc2701c5b31c9b614a0b9ecab7c8f99a47
when i was your man
tu étais stressé comme pas possible. c'est bête à dire mais, tu avais l'impression que c'était ta toute première fois. que c'était ton tout premier rendez-vous avec elle. tu te rappelles encore de son visage si juvénile et angélique. à tes yeux, il n'a pas changé malgré les années. son regard perçant et dans lequel, tu arrives à tout lire. ce petit nez que tu trouves si mignon, placé juste au-dessus d'un sourire éclatant et communicateur. elle était jolie à l'époque. elle est encore plus belle maintenant. presque trente ans après ce premier baiser, t'en étais encore fou de cette personne. elle était ton passé, ton présent mais, pourtant, elle ne semblait plus être ton futur. tu ne sais même pas expliquer comment vous en étiez arrivés à ce point-là. la vie, les mauvaises décisions, la routine, le temps. sûrement aussi le manque de considération. on reproche souvent aux hommes de prendre leurs femmes pour acquis. tu te dis que c'est peut-être bien vrai. peut-être as-tu oublié de la complimenter. ou de lui offrir des cadeaux. ne serait-ce même que de ton temps.

elle était pourtant souvent absente. encore plus ces derniers temps. pour son travail bien sûr. mais, elle te manquait. et même quand elle était là, dans la même maison, dans la même pièce, elle te manquait. peut-être même encore plus. de la savoir là, près de toi mais, pourtant si loin, c'était difficile à l'accepter. aujourd'hui d'ailleurs, elle allait à nouveau se rapprocher. physiquement seulement. elle revenait d'un voyage d'affaires et allait bientôt poser ses valises à la maison. c'était le moment de rattraper le temps perdu. d'espérer entrevoir une lumière parmi ce brouillard. tu t'étais fait tout beau. toi, le nounours qui en avait un peu rien à faire de son état et de ce qu'il pouvait dégager. tu avais mis aussi du parfum. le parfum que ta jolie lilibet t'offrait à chaque événement. ce n'était clairement pas ton parfum préféré. mais, c'était le sien et ça suffisait amplement à ce que tu le portes avec amour. un bon petit repas de préparé en amont, tu avais mis les petits plats dans les grands. cela faisait un long moment que tu n'avais pas fait ça pour ta femme. pourtant, elle le méritait. amplement même. mais, tu ne prenais même plus le temps. tu savais que ce n'était pas ça qui vous dévierait du chemin que vous étiez en train de prendre. mais, t'espérais que d'autres pancartes s'y installent pour proposer de nouveaux horizons.
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Elizabeth Dawkins-Byron
first ray of the sun
Elizabeth Dawkins-Byron

in front
âge : 51 ans
heart : toujours liée à cet homme qu'elle a épousé, incapable de se défaire de son alliance malgré leur séparation, et son coeur crie après lui chaque jour qui passe
work : Gestionnaire du patrimoine culturel matériel sur le territoire d'Angleterre
team : Les joggeurs, charity society, student's parents
home : Memory Lane, la maison familiale qu'elle est incapable de déserter.
. : when i was your man 4be5ca0523212da28b4150b3599d872447c5bcc5
post : 34
Date d'inscription : 03/08/2024
pseudo : moon.29.5
faceclaim : Kate Winslet
multicomptes : Eleanor
behind
6/8/2024, 13:40



when i was your man 653cce7bd5b652f1cdbf59f33e47527c2e7a3601

when i was your man
Cinq heures. C’est à peu près le temps qu’il lui faut pour passer de Newcastle à Bristol en changeant de train à Birmingham pour ensuite récupérer sa voiture et retrouver sa campagne. Cinq heures, c’est long quand on a la boule au ventre. Ça lui fait le coup depuis des semaines, des mois même. Depuis que son mari fait chambre à part, si elle devait identifier le moment. Sans jamais s’être rien dit sur le sujet. Ils agissent en connaissance de cause, mais les mots n’ont pas été posés. Trop difficile. Irréel tant que ce n’est pas sorti de leurs bouches. Et depuis, la Byron sombre à mesure des secondes qui passent. La blonde jette un coup d’oeil à la montre qui orne son poignet alors qu’elle rejoint son véhicule sur le parking de la gare. Dix-sept heures. Il est encore trop tôt pour rentrer à la maison. Un saut au bureau pour déposer son ordinateur et quelques notes ne feront de mal à personnes. Elle sait que les enfants ne seront pas là. Eden passe la soirée avec ses copines et Emrys, elle l’oublie souvent, ne vit plus chez eux. Il n’y aura qu’elle. Et son mari, peut-être. S’il n’est pas de garde. Alors elle se servira un verre de vin, parce qu’un verre de vin ça vient toujours adoucir la situation. Quelques minutes plus tard, Elizabeth retrouve sa place de parking attitrée devant le vieux château et gravit les marches jusqu’aux bureaux. Là, elle croise Evelyn qui lui bondit dessus, ravie de la retrouver.  « Elizabeth, enfin ! Il faut absolument que je te parle de quelque chose. » Evelyn, c’est la collègue devenue amie, celle avec qui elle prend son lunch dès qu’elle en a l’occasion et avec qui elle adore propager des rumeurs. Alléchée par l’engouement de la jeune femme, Elizabeth ne se fait pas prier et s’installe sur la chaise devant son bureau. « Oui, enfin… c’est pas aussi réjouissant que ça en a l’air. Ça ne l’est pas du tout, d’ailleurs. Je suis désolée, il faut que je crache le morceau mais je ne pouvais pas le faire par message. » Elle commence à inquiéter la cheffe de service qui arque un sourcil. « Et bien vas-y, qu’est-ce que c’est ? » demande-t-elle, l’encourageant à poursuivre. Evelyn commence alors son récit, lui rappelant qu’elle est célibataire –ce qu’Elizabeth sait très bien– et qu’elle est inscrite sur plusieurs app de rencontre –ce qu’elle sait aussi très bien. Ensuite, le ton devient plus grave et l’attitude gênée. Le morceau finit par sortir. Capture d’écran à l’appui, Evelyn lui annonce qu’elle est tombée sur son mari en proposition de match. Le couperet tombe. Liz en a la gorge qui se noue instantanément et des bouffées de chaleur qui transpercent sa peau. Elle masque son état à son amie, la remercie de l’avoir mise au courant. Sincèrement. Parce qu’elle saura, maintenant, quand Oswald lui mentira en pleine face. La salive a du mal à passer dans son oesophage et tout devient confus. Elizabeth s’excuse, se réfugie dans son bureau. « Quel enfoiré ! » grogne-t-elle entre ses dents. Elle se prend la tête entre les mains. Leur séparation est de notoriété publique. Tout le monde le sait mais personne ne pose la question. Par crainte, par respect. La Byron fulmine de rage que son mari n’ait pas eu la décence de la prévenir. Rendre leur séparation publique, prostituer sa liberté, ce n’est pas rien. Son regard vient se poser sur l’anneau à son annuaire gauche. Elle ne sait plus quoi penser. Ils auraient pu préparer ça ensemble, après tout. Elle aurait pu l’apprendre autrement. Et s’effondrer à un autre endroit qu’ici. La situation est floue pour eux depuis janvier au moins, elle l’est pour tous ceux qui les entoure, les concernant. Mais cela ne semble plus être le cas d’Oswald qui a décidé de clarifier la situation.

Une bonne heure plus tard, Elizabeth est parvenue à rassembler ses idées et à se diriger vers chez elle. En revêtant un masque à toute épreuve, elle tourne la clé dans la porte et vient déposer ses bagages au pied de l’escalier. Elle s’avance ensuite intriguée vers la salle à manger. De la cuisine provient une odeur alléchante. Quelqu’un semble avoir pris le temps de préparer un bon dîner. L’épouse s’arrête net quand elle tombe face à son mari. Un Oswald bien apprêté qui semble l’accueillir. « Salut. » lance-t-elle, ne cachant pas sa surprise, mais n’ayant pas pour habitude de l’ignorer, malgré tout ce qu’il se passe entre eux. Elle prend quelques secondes pour observer. La table qui est dressée, un bouquet de fleurs fraiches alors que ce n’est pas elle qui est allé le chercher, des chandelles allumées, une bonne bouteille de vin qui décante. Même Oz a fait des efforts. Il est coiffé, a mis une chemise. Et son parfum mêlé à l’odeur de sa peau. Elle a envie de s’approcher pour s’enivrer. « Tu attends quelqu’un ? » l’interroge-t-elle alors que tous ses traits virent vers l’incompréhension. Il a peut-être mal lu (ou pas lu du tout) la date de son retour sur la conversation de groupe familial qu’ils ont avec les enfants.  Le regard d’Elizabeth revient à lui. « Je sais pas… un date Tinder par exemple ? » Le coup part sans qu’elle ne se rende compte qu’elle a appuyé sur la gâchette. Elle n’est même plus certaine de l’application dont il s’agissait mais peu importe, ce n’est qu’un détail. Elle ne pensait pas qu’elle lâcherait l’info de si tôt. Elle aurait préféré se préparer à cette confrontation. Se passer une armure avant d’entrer dans le vif du sujet. Est-ce qu’il oserait ? Sous leur propre toit ? Elle secoue la tête pour se répondre que non. « C’est quoi tout ça, Oz ? » demande-t-elle en désignant l’ensemble avec sa main, la lassitude dans la voix.

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Oswald Dawkins
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Oswald Dawkins

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âge : cinquante-trois ans mais, encore toutes tes dents.
heart : il y a ta femme qui prend une grande partie et pourtant, vous êtes séparés. elle ne devrait plus y être.
work : pompier de feu pour la ville.
team : fou du crochet et charity society.
home : t'as une belle maison familiale à memory lane.
dream : à ton âge, tu n'as plus vraiment de rêve. c'est peut-être même dommage de penser comme ça.
. : when i was your man Tumblr_oosv3slTeB1qbwrnuo8_250
secret box : père officiellement de deux enfants mais, père aussi de deux autres enfants, cachés auprès de tout le monde.
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Date d'inscription : 31/07/2024
pseudo : (meow.)
faceclaim : le mâle, le vrai, jeffrey dean morgan.
multicomptes : zézé la plus belle
behind
https://takeyourtime.forumactif.com/t60-et-quand-il-pete-il-trou
15/8/2024, 23:54



when i was your man 7075fccc2701c5b31c9b614a0b9ecab7c8f99a47
when i was your man
tu tournais en rond, regardant sans cesse l'aiguille tournait sur ta montre. elle mettait du temps à arriver. ou alors, c'était le moment qui te faisait penser ça. tu savais qu'elle était souvent fatiguée quand elle rentrait. et c'était devenu très souvent silencieux depuis quelques mois à son retour. juste quelques mots échangés. vous étiez en colocation. même pire que ça. vous n'aviez même plus d'intérêt pour l'un et pour l'autre. l'ignorance ne faisait pas partie de votre quotidien mais, on ne ressentait plus la force de votre couple. c'est quand tu entendis les clés tournaient dans la serrure que tu sentis en même temps ton cœur s'emballait. tu t'attendais à une bonne soirée. peut-être un signe de paix. que vous puissiez discuter calmement de votre situation et puis surtout vous écouter. c'est bien ce qu'il vous fallait. elle était surprise de découvrir tout ce que tu avais préparé. après t'avoir saluer, elle te questionnait. les questions fusaient sans même que tu saches répondre. jusqu'à ce qu'elle évoque tinder. l'application de rencontre sur laquelle tu es inscrit. tu perds tes moyens, ne sachant pas pourquoi elle parle de ça. tinder, t'as trainé dessus. mais, véritablement tu n'y penses pas trop. t'as voulu tenter mais, tu n'y trouves pas forcément l'intérêt. t'as pas la tête concentrée dessus. « j'ai fait ça pour toi Lilibet. pour nous. » au final, tu n'en avais que faire de rencontrer d'autres femmes. tu n'avais même pas franchi cette étape. ta femme était devant toi et il était inconcevable que tu fasses ça pour une autre femme qu'elle.

tu l'invitas à s'asseoir à table. tu voulais pouvoir détendre l'atmosphère. ne pas évoquer le sujet fâcheux. « je me suis dit que ça faisait longtemps qu'on avait pas passé une soirée comme ça. » c'était pourtant habituel avant. vous vous faisiez souvent des restaurants, des concerts, des soirées rien qu'à deux. en amoureux. ça n'était plus le cas depuis des mois. du jour au lendemain, vous aviez arrêté de vous consacrer du temps. ça avait mené à votre perte. « tu m'as déjà vu cuisiner pour quelqu'un d'autre peut-être ? » tu ajoutas en rigolant. tu venais peut-être de rallumer la mèche sans même le savoir. tu remettais le couvert sur tinder sans le vouloir. mais, t'espérais qu'elle avait juste fait une allusion. tu l'avais déjà trompé alors elle pensait sûrement que c'était encore le cas. pourtant, depuis la dernière tromperie il y a environ vingt ans, tu n'avais plus jamais tenté le diable. tu avais failli la perdre pour de bon. et ça t'avais vraiment servi de leçon. tu ne voyais pas ton inscription sur tinder comme une tromperie. c'était de l'intérêt. de la curiosité. mais, rien de négatif réellement. tu ne pensais pas que ça pouvait être vu autrement. parfois, tu ne réfléchissais pas vraiment à ce que tu faisais.
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